l’eau un bien commun, pas gagné dans le cher (18)

  • Les communes devant désormais gérer l’eau grise l’eau bleue, le circuit court et le circuit long, c’est la communauté de communes ou l’agglo qui a les moyens financiers de décider. Cette régie municipale est donc sous la gouverne de l’échelle agglo  (ex Bordeau aussi).
  • dans le Cher, tout est confié au privé ou presque , seule Vierzon  a sa régie Réavie
  • L’eau du bassin de Sidiailles est régulée par le privé (Sam avait alerté en 2018), Bourges est alimentée par de l’eau de Loire (qui va être polluée au tritium quand elle se réchauffera comme elle l’est déjà dans son estuaire) et gérée par Véolia. La population ne décide pas dans le système actuel. L’agglo de Bourges a même décidé de creuser un 4 eme puits à l’est du cher à la frontière du Morvan pour assurer la potabilité de l’eau (on préfère diluer que interdire les pesticides : Kervran avait voté contre pour une fois, mais cormier pour!) et faire de l’agroforesterie autour des zones de captages.
  • eau potable à Bourges -18000
  • En plus dans le privé on paie des actionnaires :  donc voilà des décisions prises par les élu.e.s du cher : tout ça coûte de l’argent

C’est reconnu la régie municipale est plus économique et maintient l’emploi local . ce n’est pas simple à faire décider : il y a le coût et la responsabilité de la collectivité.

ex dans la petite commune d’un maire lfi Régie publique : les enjeux d’un service public de l’eau

il va bien falloir faire pression sur ces élu.e.s qui préservent les intérêts privés et leurs carrières politiques. il faut que le mot citoyen reprenne du sens.

ami.e.s de Sainte-Solyne, de Rataf et d’ailleurs demander à voir les comptes et demander des explications justifiées à vos élu.e.s. pour vous aider, voilà un excellent débrief d’une hydrologue

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Une réponse à l’eau un bien commun, pas gagné dans le cher (18)

  1. admin4602 dit :

    en 2021 Gilles Clément dans les marais de Bourges
    Pour vous des insoumis étaient présents. Que retenir de son allocution ? au travers les siècles, on observe que les paysages ont été façonnés l’homme : les bocages ont pris la place de la forêt dans les montagnes et dans les plaines les bocages ont disparus au profit des cultures productivistes.
    Mais seulement les animaux et le biotope ne s’adaptent pas à ces changements , ils correspondent à un type de biome.

    Le rôle du jardinier est de corriger les regards sur le paysage avec une certaine cohérence entre art, anthropologie, évolution des espèces et gestes mécaniques ou chimiques. Le modèle productiviste est au banc des accusés de destruction de la biodiversité et de l’empoisonnement de la terre. Le jardinier et le vivant coopèrent à créer un rêve pour nous les humains .
    Que faire alors ? réduire et abolir la chimie du productivisme, reprendre l’artisanat, s’émanciper de la technologie : apprendre à désobéir ! recycler pour libérer des espaces, arrêter de tout bétonner!

    Le patrimoine c’est un jardin mouvement, c’est le vivant qui mute, hybride!
    cet article est de l’interprétation des auditeurs et non une interview de l’auteur

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