MBDA bourges avec NEXTER ont des contrats nationaux pour développer les armes à produire pour les guerres… et compte-tenu de la tension internationale et des menaces terroristes , MBDA rachète le foncier tout au tour pour créer une « zone tampon ». rappelons que cette zone tampon a déjà connu plusieurs bombardements en 1940 par les allemands et 1944 par les anglais- américains. Des vestiges sont couramment retrouvés dans les nouveaux lotissements crées sur des ex jardins . la cité HLM des jardins de l’aéroport construite après 1945 pour héberger les ouvriers de MBDA n’ a la chance que d’être reconnue jardin remarquable. Elle n’héberge plus les ouvriers qui logent dans les lotissements périphériques récents . Alors que Bourges sera capitale européenne de la culture, le choix est fait de déménager les habitant.e.s précaires des HLM et de raser la majorité de cette cité, d’en vendre le foncier à MBDA. restaurer la cité une idée fugace qui n’a peut-être jamais été discuter en conseil municipal… juste le temps des campagnes électorales . Bourges capitale européenne de la culture oui mais dans l’économie de guerre d’abord!
une jardin remarquable condamné par un choix économique
2024, une nouvelle année ?
Beaucoup hésitent à souhaiter une bonne année à ses voisin.e.s !
Un simple comment vas tu ? c’est gratuit pourtant et parfois réconfortant pour les un.e.s et les autres.
l’eau un bien commun, pas gagné dans le cher (18)
- Les communes devant désormais gérer l’eau grise l’eau bleue, le circuit court et le circuit long, c’est la communauté de communes ou l’agglo qui a les moyens financiers de décider. Cette régie municipale est donc sous la gouverne de l’échelle agglo (ex Bordeau aussi).
- dans le Cher, tout est confié au privé ou presque , seule Vierzon a sa régie Réavie
- L’eau du bassin de Sidiailles est régulée par le privé (Sam avait alerté en 2018), Bourges est alimentée par de l’eau de Loire (qui va être polluée au tritium quand elle se réchauffera comme elle l’est déjà dans son estuaire) et gérée par Véolia. La population ne décide pas dans le système actuel. L’agglo de Bourges a même décidé de creuser un 4 eme puits à l’est du cher à la frontière du Morvan pour assurer la potabilité de l’eau (on préfère diluer que interdire les pesticides : Kervran avait voté contre pour une fois, mais cormier pour!) et faire de l’agroforesterie autour des zones de captages.
- eau potable à Bourges -18000
- En plus dans le privé on paie des actionnaires : donc voilà des décisions prises par les élu.e.s du cher : tout ça coûte de l’argent
C’est reconnu la régie municipale est plus économique et maintient l’emploi local . ce n’est pas simple à faire décider : il y a le coût et la responsabilité de la collectivité.
![]() |
![]() Régie publique : les enjeux d’un servic… |
il va bien falloir faire pression sur ces élu.e.s qui préservent les intérêts privés et leurs carrières politiques. il faut que le mot citoyen reprenne du sens.
ami.e.s de Sainte-Solyne, de Rataf et d’ailleurs demander à voir les comptes et demander des explications justifiées à vos élu.e.s. pour vous aider, voilà un excellent débrief d’une hydrologue
militante avec un E !!
CLIQUER POUR ÉCOUTER SUR LE TITRE
2023, nous voilà
Bonne année 2023 ! « bonne chance ! » certains disent. C’est la lutte, la lutte finale ?
https://rebellyon.info/L-internationale-chante-pour-la-premiere-6545
Çà fait quatre mois que ce blog est ouvert. Les idées de quartier, du faire soi-même, les problèmes de logements insalubres ou passoires thermiques n’ont pas permis la prise de parole des zones rurales. Les habitant.e.s des campagnes sont caché.e.s dans le collectifs de défense de logement, de protection du vivant (les luttes contres les bassines, les préemptions d’eau, l’utilisation des pesticides..). La nature à disposition limitent le nombre de personnes qui a faim. Mais personne n’est épargné par le froid, le coût des matières et des énergie, par l’inflation, tout le monde est humilié dans l’accès à ses droits. Les gens des campagne, les « ruraux » agissent ; ils n’ont pas forcément besoin de parler. Question de cultures, d’histoires. Il faut du temps pour que les rats des villes et des champs se réconcilient.
Alors, continuons à organiser nos réussites et nos luttes pour une vie meilleure partagée et solidaire, et dépasser le mode survie.
Hapax et Pem